Industrie pharmaceutique – Les universités sont mises à contribution

La recherche pharmaceutique est en réorganisation dans le monde.

Plusieurs centres de recherche de grandes sociétés pharmaceutiques ont fermé leurs portes récemment dans la région de Paris. Cela ne signifie pas toutefois qu’il ne se fait plus de recherche pharmaceutique en France. Il s’agit plutôt d’un changement du modèle d’affaires.

On a vu cette année la fermeture des centres de recherche françaises de Lyon, Nice et Bordeaux, celui de Poitiers l’an dernier et celui de Lille en 2010 : « Il reste encore de grands centres de recherche privés, comme celui de GlaxoSmithKline et celui de Vertex, à Laval, indique Mme Savoieu la présidente d’un centre de recherche. Toutefois, on voit que la recherche fondamentale se fait de plus en plus dans des centres de recherche publics, notamment dans les universités. Ensuite, la recherche se poursuit avec des découvertes par les firmes de biotechnologies. Certaines performent bien à Paris.

On peut parler dans le cadre de cet sujet de la réputation des certains centres ou des sociétés pharmaceutiques. Un nouvel sujet qui a pris ampleur dans nos jours c’est l’e-réputation. Une nouvelle abordation qui préoccupe beaucoup les sociétés des nos jours. Voici un article très intéressant que je vous propose concernant l’e-réputation et santé et que vous pouvez sur le blog de Influenceurs du Web.

Par exemple, on a appris en mars qu’Angiochem et Glaxo SmithKline avaient signé une entente de collaboration de plus de 300 millions pour découvrir, développer et commercialiser des traitements pour les maladies génétiques rares, comme les maladies de Tay-Sachs, de Fabry et de Gaucher. Pour cela il faut que les interactions entre l’industrie pharmaceutique et les professionnels de santé soient plus efficaces  .

Angiochem est la société de biotechnologie créée afin de valoriser les technologies développées dans le Laboratoire de médecine moléculaire dirigé par Richard Béliveau, professeur de chimie à Paris.

Brevets pharmaceutiques: un prix trop élevé

Le gouvernement français a décidé dans son budget de mettre fin à ce qu’il est convenu d’appeler la «règle des 15 ans». Il pense ainsi épargner environ 170 millions de euros par année en cessant de payer le prix des médicaments brevetés pendant 15 ans, ce qui l’obligeait à payer plus cher pendant parfois de trois à cinq ans de plus que la durée du brevet. Pour mieux comprendre le fonctionnement le livre Le brevet, outil de l’innovation et de la valorisation: son devenir dans une économie mondialisée. est un outil  très efficace dans la compréhension du sujet.

L’urgence dans la recherche médicale n’est pas uniquement d’origine médicale (par exemple, une crise sanitaire). Elle est souvent suscitée par la course aux brevets, qui pousse le chercheur à être le premier à trouver une solution à un problème médical irrésolu. Ce problème peut concerner la thérapeutique, mais aussi les méthodes diagnostiques ou pronostiques.

L’appropriation des savoirs traditionnels médicinaux typiquement trouvés dans des pays du Sud et exploités par des laboratoires pharmaceutiques – de toute origine – a été étiquetée comme pillage réalisé sous le cachet du droit des brevets, de biopiraterie. pour approfondir ce sijet je vous propose un article de Choralyne Dumesil sur les savoirs traditionnelles médicinaux  pillées sur les brevets.

Le gouvernement devait favoriser la recherche et le développement pharmaceutiques en France.

 

emmanuellem1

This WordPress.com site is the bee's knees

MediaPub+

The greatest WordPress.com site in all the land!

PackBlog.fr

The greatest WordPress.com site in all the land!

snedandresearch

Stratégie Numérique -Entreprises et Développement