Remerciements

Chers participants et collaborateurs,

C’est avec grand plaisir que j’ai appris votre présence lors de notre festivité « MEDICISrevue: 20 ans dédiés à la recherche » et je vous en remercie.  C’est en effet une occasion unique de partager un moment agréable tout en apportant une aide non négligeable aux futures collaborations et recherches. Soyez certains que l’équipe MEDICISrevue vous est particulièrement reconnaissante d’apporter votre soutien à notre action.

Par cette missive, nous tenons à vous remercier de la diligence dont vous avez fait preuve suite à notre requête concernant la communication et la santé et les nouvelles découvertes dans le domaine médical.

Je veux remercier nos collaborateurs proches qui ne travaillent pas dans le domaine médical, mais dans celui de la communication et de la publicité. Il s’agit de MédiaPubPlus – une agence de relations publics et publicité – qui a fait des études sur l’e-réputation de notre revue à travers le temps et s’est occupée à nous faire publicité. Notre image est toujours importante et MediaPubPlus fait son mieux dans ce domaine. Ensuite, je veux remercier SNED : Stratégie Numérique – Entreprises et Développement, un laboratoire de recherche crée en 1998 et spécialisé dans la recherche scientifique pour l’innovation dans les technologies de l’information et de la communication dans les organisations publiques ou privés, pour leur dévouement, leur compétence et leur amitié.

Nous avons ajouté une nouvelle partie dans notre revue Communication et santé et Emmanuelle Mertens, docteur en sciences de l’information et de la communication et enseignant chercheur à l’Université de Saint-Saint-Pétersbourg nous a conseillé pour trouver le bon concept qui a été introduit dans la structure de la revue depuis septembre 2012. Je souhaite remercier mes collaborateurs et le personnel pour les efforts qui ont été faits pour réaliser ces résultats excellents, pour avoir travaillé de façon compétente, créative et infatigable, à la finalisation des projets.

N’hésitez pas à nous contacter si, en retour, nous pouvons être en mesure de vous apporter notre aide de quelque manière que ce soit. Je remercie toutes les autorités et nos partenaires pour leur confiance et support.
Avec toute ma reconnaissance,

Pierre MORIS,

rédacteur en chef

Colloque sur les médicaments antidépresseurs et anxiolytiques

Le colloque: « Attention: médicaments antidépresseurs et anxiolytiques »
Date et lieu: le 25 avril 2013, Institut National de Médecine et Pharmacie, Paris
Le thème est « Attention: médicaments antidépresseurs et anxiolytique » avec une déclinaison dans les domaines du soin et de la recherche.
Le Comité d’Organisation et le Comité Scientifique vont faire une large place :
-aux travaux des chercheurs de la discipline, dont les résultats ont un impact croissant sur la pratique
-aux échanges d’expériences sur les nouveaux modes d’organisation professionnelle
-aux espaces de dialogues et d’échanges informels

Le comité sera composé par:
Bruno MILLES: Président du Comité d’Organisation
Jacques NEST: Président du Collège de Neurologie et Psychiatrie
George VASY: Président du Comité Scientifique

Table ronde: 10h-13h30
Indicateurs et paiement à la performance -Laura NICES, Paris
Les medecins psychiatresaux et les indicateur de performance : un regard sociologique -Paul TRUST, Dijon
Indicateurs pour mesurer l’atteinte d’objectifs de santé mentale et valorisation des pratiques des médecins -Hector FALCOFF, Paris
Mise en place en France d’un centre de recherche dédié aux antidépresseurs et anxiolytiques -Dom PAST, Bordeaux
Appropriation du processus par les médecins, nécessité d’une démarche réflexive pour améliorer la qualité des pratiques -Lucien VOLTON, Lille

Pour communiquer sur vos travaux, pour vous former, pour échanger avec vos collègues, pour construire notre discipline, nous vous attendons nombreux au Colloque sur les médicaments antidépresseurs et anxiolytiques.

Recension du livre « Le cerveau et la communication » par Alexandre THOMAS

Le livre d’Alexandre THOMAS, Le cerveau et la communication, nous présente les plus fréquentes maladies du cerveau comme étant des maladies de la communication. Il s’agit premièrement de la maladie d’Alzheimer.

Même si les traitements médicaux ont progressé, il n’y a pas encore de traitement curatif à proposer aux malades. La prise en charge non médicamenteuse reste alors essentielle et s’enrichit de techniques toujours plus performantes.

Il aborde les différentes fonctions du cerveau, à partir d’un exemple de prise de décision en situation de danger et de la capacité d’attention. Il parle des troubles d’affectivité et de la mémoire afin de repérer comment la personne interprète les situations, les vit et élabore des réponses. Le problème de la communication (ratée ou non) commence au moment où le patient doit énoncer le problème à résoudre. Pour cela, il faut découper l’action en séquences courtes à travers lesquelles la personne est guidé. Tout comportement est logique et cherche à satisfaire un besoin : somatique, de sécurité, d’action par soi même, d’affection, d’appartenance.

L’auteur parle de l’apport des nouvelles technologies (l’aspect novateur) pour l’évaluation et la prise en charge de la maladie d’Alzheimer, de la rééducation neuropsychologique et surtout il fait une présentation des actualités thérapeutiques.
A la fin, il montre l’importance de soutenir les familles qui ont des personnes qui souffrent d’une maladie qui atteint le cerveau, en apportant des exemples concrets et des conseils.
Ce livre a attiré l’intérêt de nombreux spécialistes parce que l’auteur (Dr. Alexandre THOMAS) a montré le résultat de ces recherches dans le domaine médical.
Pierre MORIS
rédacteur en chef

MEDICISrevue: 20 ans dédiés à la recherche

MEDICISrevue et ses collaborateurs proposent un questionnaire dédié aux spécialistes et aux jeunes étudiants qui sont intéressés à notre domaine d’étude. Nous avons établi le questionnaire pour recueillir les opinions sur notre domaine, pour nous aider à mieux développer notre programme, pour voir quelles sont les domaines les plus lus, quels articles vous intéressent le plus et aussi pour nous aider à diriger les débats qui auront lieu dans le cadre d’une festivité  » MEDICISrevue: 20 ans dédiés à la recherche ».

Programme:  « MEDICISrevue: 20 ans dédiés à la recherche« 

Date: 15-17 mars 2013

Lieu: Bordeaux, 10 Rue du Soleil

Nous vous invitons à émettre vos réponses et commentaires.

Pour cela choisissez tout d’abord votre catégorie (  A pour les spécialistes et B  pour les non spécialistes). Ensuite vous pouvez répondre  aux questions.

Nous  vous remercions par avance de votre collaboration.

A . Si vous êtes un spécialiste

• Quel est votre avis sur les thèmes et les articles que nous publions chaque mois dans notre revue?
• Il y a un domaine qui vous intéresse particulièrement ? Si oui, lequel? Pourquoi?
• Communication et santé est une catégorie récemment abordée dans notre revue, quel est votre opinion ?
• Vous trouvez qu’il y a des lacunes ou des sujet peu discutés dans le cadre de notre revue ?
• Quel est votre opinion sur les nouvelles découvertes médicales et la diffusion des informations dans la presse?
• Si vous êtes chercheur ou vous travaillez dans le domaine médical, vous seriez intéressé à devenir notre collaborateur ?

B.  Si vous êtes non spécialistes mais  avez des opinions sur le sujet

• Pour vous qu’est ce que MEDICISrevue?
• Quels sont les domaines de recherche auxquels vous êtes intéressés  ?
• Vous lisez souvent notre revue ? Quels sont les sujets qui vous intéressent le plus?
• Vous pouvez nous proposer un thème à développer?
• Connaissez-vous des techniques de gestion de la communication pour mieux travailler et collaborer?
• En tant qu’étudiants, comment vous trouvez le contenu de notre revue ?

Pierre MORIS

rédacteur en chef

L’énigme Alzheimer

http://www.dailymotion.com/video/x68oxz_l-enigme-alzheimer-1_news#.UTk3CdZhXlY

Les dernières études menées aux Etats-Unis, au Canada et en Allemagne éclairent d’un jour nouveau les origines de la maladie d’Alzheimer, laissant espérer des traitements. Le chercheur David Snowdon, qui a pu mesurer pendant des années l’activité et l’agilité cérébrales de religieuses dans un couvent américain, a été autorisé, après la mort des nonnes, à rechercher dans leur cerveau d’éventuels indices de démence.
J’ai mis un film en 3 parties trouvé sur le site de Dailymotion.com.

Communication et promotion de la santé

Communication et promotion de la santé

J’ai lu un article très intéressant publié sur le site de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé sur la communication et la promotion de la santé. Il comprend 7 sous-parties qui définissent la communication au service de la santé publique, le rôle et les limites de la publicité et aussi l’élaboration d’une campagne de communication. Je peux ajouter ici le travail d’une agence de publicité qui fait des études et des projets sur la réputation, la communication et la publicité des entreprises, des centres de recherche ou des sociétés.
La communication est très importante et de nombreuses études ont été faites surtout dans des entreprises. Emmanuelle Mertens, docteur en sciences de l’information et de la communication et professer à Saint-Saint-Pétersbourg, nous propose 10 conseils pour gérer la réputation et l’e-réputation.

« La promotion de la santé est une approche globale, qui vise le changement des comportements mais aussi des environnements relatifs à la santé, via une gamme de stratégies individuelles (modes de vie, habitudes de vie) et environnementales (conditions de vie). Elle utilise pour cela une large gamme de stratégies, dont l’éducation pour la santé, le marketing social et la communication de masse, l’action politique, l’organisation communautaire et le développement organisationnel.

Pour faire progresser cette « culture santé », pour que chacun fasse lui-même, de façon autonome, les bons choix en matière de santé, les stratégies de communication de l’Inpes doivent s’inscrire dans une double approche, à la fois collective et individuelle. Il faut en effet informer le plus grand nombre sur les grands enjeux de santé publique, tout en faisant la promotion, par une communication ciblée sur les publics prioritaires, de comportements déterminants pour la santé. Comment sont conçues les campagnes « publicitaires » signées par l’Inpes et le Ministère de la santé ? Quels en sont les principes et les objectifs ? Quelles sont leurs limites ? Quelles évolutions notables ont jalonné ces dix dernières années ? Comment sont-elles évaluées ?

1. La communication au service de la santé publique
2. Qu’est-ce que communiquer ?
3. Quelques principes adoptés par la communication en santé publique
4. Rôle et limites de la publicité
5. Mieux accompagner, mieux cibler : les évolutions en 10 ans
6. L’évaluation
7. L’élaboration d’une campagne : une méthodologie rigoureuse « 

Les cellules souches – une révolution en médecine

En médecine, les cellules souches animales et humaines font l’objet de nombreuses recherches depuis les années 1990, avec l’espoir de régénérer des tissus, voire d’en créer de toute pièce, et idéalement de reconstruire des organes. Ces avantages potentiels ont suscité des expérimentations de clonage thérapeutique pour en maîtriser la fabrication en grand nombre.

Le premier médicament fabriqué à base de cellules souches est approuvé en mai 2012 par les autorités canadiennes. Il s’agit du Prochymal, une préparation obtenue à partir de cellules souches adultes.

The Canadian Journal of Cardiology fait référence à l’utilisation de plus en plus nombreuse des ce type de cellules, surtout dans les maladies cardiovasculaires. Dans le cadre d’une étude effectuée ils présentent d’abord les objectifs, la méthodologie utilisée et les résultats, d’une manière scientifique mais compréhensible.

cellules souches (Institutdesbiothérapies.fr)

Les checheurs de l’Institut Pasteur, Paris, ont fait une nouvelle découverte concernant les cellules souches qui ont été prélevées après la mort des patients. Le vidéo suivant nous présente la découverte faite il y a quelques mois.

Les hormones bio-identiques

Par « hormone bio-identique » on entend une hormone qui a la même configuration moléculaire que les hormones produites par le corps humain. En laboratoire, on peut obtenir des copies exactes des différentes hormones humaines en transformant des molécules de stérols qu’on trouve dans les plantes. Mais notez bien que ces hormones bio-identiques sont bel et bien produites en laboratoire et donc, par définition, « synthétiques » puisqu’elles sont toutes l’aboutissement d’une synthèse, même si le point de départ était une substance végétale.

Le CPJ (CANADIAN PHARMACISTS JOURNAL) nous propose la définition suivante :  » les HB sont naturelles, terme dont l’interprétation laisse entendre qu’elles sont d’origine naturelle, à savoir végétale, elles constituent une approche plus naturelle, donc plus sécuritaire. Cette absence de consensus sème la confusion non seulement parmi la communauté médicale, mais également parmi le grand public. »  Dans le même article les auteurs font une classification des hormones qui servent à atténuer les symptômes de la ménopause et qui ont toutes la même structure moléculaire que les hormones endogèmes: il s’agit de l’œstriol, l’œstradiol, l’œstrone et la progestérone. Les HB se présentent sous diverses formes. Cela permet donc aux pharmaciens d’adapter les préparations en fonction des besoins des patientes.

Pourtant il faut savoir que les oestrogènes pharmaceutiques, qu’ils soient bio-identiques ou non, ont été récemment ajoutés à liste américaine des substances reconnues comme cancérogènes.

Je vous suggère une courte vidéo sur les hormones bio-identiques  et la ménopause réalisée par Dr. Sylvie DEMERS